Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 4 ans
Cette histoire s'est déroulée pendant les vacances d'été de l'année de ma première fois.
Depuis ce moment, j'étais allé quasiment chaque week-end me faire prendre chez Pierre, et je redoutais les grandes vacances durant lesquelles je n'allais plus me faire prendre, enfin c'est ce que je croyais.
Arrivé au camping avec mes parents et ma soeur je ne pus m'empêcher de sourire en voyant tous ces hommes en maillot de bain. Voir toutes ces bosses me fit rêver, mais je me disais qu'il ne fallait pas trop rêver, car tous ces hommes étaient mariés en vacances avec leur famille, amis.
Après s'être installé dans le bungalow et moi dans ma tente je partis faire un tour à la piscine pour me rafraîchir et me sortir de la tête toutes ces queues que j'imaginais. Pendant que je nageais je matais un peu autour de la piscine, une main frôla ma jambe, ou plutôt la caressa, cette sensation était agréable et je m'arrêtai au bord de la piscine pour voir qui m'avait caressé. Je n'eus pas à chercher longtemps, un homme nageait vers moi me fît un clin d'oeil et sortit de la piscine.
Je ne le lâchais pas des yeux et le vis se diriger vers les toilettes. Malgré mon manque d'expérience (jusque-là je n'avais fait qu'une rencontre) je savais ce que ce clin d'oeil voulait dire. Je sortis de l'eau et me dirigea également vers les toilettes. Il m'attendait devant une cabine et y rentra. Je m'approchai de celle-ci et baissèrent les yeux instinctivement sur sa bosse. Celle-ci était bien grosse dans son slip.
Il me vit le mater et dit : " Je savais que tu viendrais, je t'ai grillé direct toi ! "
Moi relevant les yeux :" comment ça? "
Lui en souriant :"je t'ai croisé sur le chemin de la piscine, tu matais tous les slips "
Je ne savais pas quoi dire, car je ne pensais pas que quelqu'un le verrait. Je me dis alors qu'il ne devait pas être le seul à l'avoir vu, mais je ne savais pas quoi penser de ça.
Je rentrai dans les toilettes, il me prit contre lui pour pouvoir fermer la porte. Je pouvais sentir sa bosse grossir, et pendant qu'il fermait la porte ma main descendit sur son slip et je me mis à frotter sa queue à travers son slip.
Lui :"je ne suis pas ton premier homme n'est-ce pas?
Moi m'agenouillant :"non pourquoi? "
Lui :"Et bien tu te jettes sur ma queue comme si tu étais en manque ! "
Moi en souriant : " Je le suis ! "
Je baissai son slip pour faire sortir une belle queue aux couilles poilues et avec un gland très imposant. Je commençai à le lécher quelques secondes et à le branler, puis le pris en bouche. Sa queue était délicieuse, je m'appliquais sur son gros gland à bien passer ma langue dessus.
Lui :'T'es un sacré bon suceur ! "
Je suçais un inconnu dans les toilettes de la piscine d'un camping, pendant que les gens rentraient et sortaient. Cette situation risquée était très excitante. Je m'appliquais pour ne pas faire de bruit, et alors que nous étions plus que 2, il me releva me tourna et m'enleva mon slip. J'étais les mains sur la cuvette cul tendu vers cet homme, et me dis que les vacances ne seraient peut-être pas si terribles que ça.
Lui :"Tu aimes te faire baiser? "
Moi dandinant mon arrière-train :"oui monsieur "
Il cracha sur mon petit trou et y inséra un premier doigt. il joua quelques secondes, puis approcha sa queue de mon trou. Il fit mine de la rentrer en frottant son énorme gland sur mon anneau.
Lui : " Tu la veux? "
Moi :"oui mettait la moi ! "
Il recracha sur mon cul, étala sa salive, m'attrapa par les hanches et rentra sa queue doucement. Heureusement que Pierre était passé avant lui me dis-je, car son gland me fît un peu mal.
Lui :"Humm, ton cul est divin ! Je vais bien le baiser. "
Bien accroché à mes hanches, il commença ses va-et-vient délicieux. Après quelques minutes de ce régime, il me mit un coup de reins si v i o l ent que je gémis.
Lui :"mais en plus tu gémis, t'es une petite salope en faite ! "
Je ne dis rien, car il avait raison. Il se cala au fond de mon cul et ne bougea plus.
Lui :"file-moi ton slip "
Je me baissai pour attr a p e r le slip à mes pieds et lui donna. Tout en restant au fond de moi, il mit mon slip en boule dans ma bouche et me dis :'comme ça on t'entendra pas gémir salope ! "
Sur ces paroles il me baisa. J'étais les mains contre le mur me faisant baiser, jambes écartées, cul légèrement cambré avec mon slip dans la bouche et j'adorais ça. À chaque fois que quelqu'un rentrait dans les toilettes il s'arrêtait et me caressait le dos, les fesses, les jambes et dès que la personne sortait il s'agrippait à mes hanches pour me défoncer. Je sentais son gland écarter mon cul.
Lui :"je ne vais pas tarder à venir ! "
Entendant ça je répondis à ses coups de reins en venant à sa rencontre. Après quelque vas et vient, il sortit sa queue et je sentis son sperme gicler sur mon dos et couler le long de ma colonne pour s'arrêter sur mes hanches cambrées.
Il me retira le slip et me fît lécher ses doigts plein de sperme. Je me délectais de celui-ci et avalait ce qu'il me présentait.
Il me retourna face à lui et me roula une pelle géniale, je voulus attr a p e r sa queue, mais il se recula.
Lui :"J'y vais, merci pour ton cul " en souriant
J'étais un peu déçu car habitué à me faire baiser pendant des heures ce qu'il vît.
Lui :"T'inquiètes petit cul, je suis pas le seul à avoir vu que tu matais " et il partit, me laissant sur la cuvette des toilettes, slip de bain au sol, le cul ouvert et le dos couvert de son sperme.
Je sortis quelque minute après lui, les yeux baissés et me dirigea vers la douche de la piscine pour me rincer.
Je retournai vers mon bungalow.
Ma mère :"alors cette piscine? L'eau est bonne? "
Moi :"Oui elle est super bonne ! "
Ma mère :"bon y va ! tu y retournes? "
Moi :"Euh non pas tout de suite, je vais écouter de la musique dans ma tente ! "
Elle :"OK ! Si tu vas faire un tour, on mange à 20h ! "
Je m'installai dans ma tente, la ferma, enleva mon slip et commença à me doigter.
Cela faisait à peine 10 minutes que je me faisais du bien sur le dos, les yeux fermés, que j'entendis quelqu'un s'approcher.
Lui :"Je t'ai vu à la piscine rester 30 minutes ! rejoins-moi au bungalow avec les serviettes PSG,MARSEILLE sur le balcon prêt des toilettes ! "
Et il repartit. J'étais tétanisé par la situation. Je n'espérais qu'une chose, que ma famille n'est pas vu cet homme près de ma tente.
Je laissai passer quelques minutes et sortis. J'avais trop envie d'une autre queue pour laisser passer cette opportunité, et me dirigea vers les toilettes. J'aperçus le fameux bungalow avec les serviettes et m'y approcha. La porte était ouverte.
Moi :"bonjour, y a quelqu'un? "
De l'intérieur du bungalow :"rentre et ferme derrière toi ! "
Je rentre donc dans ce bungalow excité par la situation mais en même temps avec une boule au ventre.
A l'intérieur se trouvait un homme assit sur la banquette une bière à la main. Il devait avoir entre 35 et 40 ans, très belle homme légèrement poilu sur le torse, malheureusement son short ne laissait pas apparaître le moindre indice sur sa queue.
Lui:"Fais pas ton timide, entre! Moi c'est marc. Tu veux boire quelque chose?"
Tout de suite je me sentis bien, son sourire aida, et ma boule au ventre disparu.
Moi:"Non merci je n'ai pas soif"
Il se leva s'approcha de moi posa sa bière et tout en posant sa main sur mes fesses:"Alors comme ça on fait la pute dans les chiottes?"
Je ne su quoi répondre, je baissa les yeux et me laissait palper le cul. Cette approche direct me scotcha, mais il avait raison je ne pouvais pas nier ce que j'étais. Je me laissa aller à ses palpations et alors qu'il se frotta à moi, je sentis sa bosse à travers son short. Il appuya sur mes épaules pour que je me baisse, je ne résista pas, j'en avais trop envie.
Lui:"Que font les putes?"
Moi:"Elles sucent !"
Lui:"humm, j'aime entendre ça!T'as été bien formé toi je me trompe?"
Je ne répondis rien, baissa son short pour laisser apparaître ça queue que je commença à branler lentement. Après à peine 5 seconde de branle, je l'attrapa en bouche, et commença à sucer cette queue. Je palpais ses couilles poilues, je léchais suçais sur toute sa longueur cette belle tige, de temps en temps je léchais ses bourses, les aspirais. Les mains posées sur ma tête me bloquèrent et il commença à me baiser littéralement la bouche, j'en bavais, ce traitement dura quelques minutes avant qu'il ne sorte sa queue de ma bouche et me tapote une joue avec. A ce moment j'étais sa pute, je ne pouvais plus reculer, j'en avais pas envie de toute façon
Lui:"T'as une bonne bouche, maintenant voyons ton petit cul!" il me redressa
Lui:"Va dans la chambre et enlève ton slip"
Il me montra du doigt la pièce et je m'y dirigea sans broncher. J'entrai dans cette petite chambre enleva mon slip et l'attendit à 4 pattes cul vers la porte d'entrée. Il arriva après quelques minutes qui me parurent une éternité, mais en attendant je me disais qu'il finissait sa bière
Lui en entrant:"Oh ce cul!"
Il ferma la porte, s'approcha de mon cul, me mit une petite claque qui me surpris. Il me prit le cul à 2 mains pour l'écarter et commença à me le bouffer. Il savait y faire et je me laissais aller à ce délice. Le cul tendu et la tête posée sur le lit je commençais à lâcher de léger gémissement qu'il entendit
Lui:"T'aimes ça te faire bouffer le cul petite pute hein?"
Moi:"Oui"
Il inséra 2 doigts direct dans mon cul:"Et ça tu kif?"
Je ne pouvais cacher le fait que j'aimais cela car je gémis un peu plus fort.
Lui:"Bien sur que tu aimes t'es une petite pute en chaleur toi!! Tu vas voir ce que je leur mets au pute!"
Il me fait avancer sur le lit, se place derrière moi, crache sur mon cul, et rentre jusqu'à coller son bas ventre contre moi.
Lui:"Putain Il t'a bien baisé le mec dans les chiottes! Je suis rentré sans aucune résistance!"
Il m'attrapa par les hanches, il me tira vers lui pour s'enfoncer encore plus loin. C'est alors que le sentis appuyer sur mon dos, pour se mettre sur jambes. Je me trouvais donc la tête sur le lit, le cul relever et rempli de la queue de cette homme, sentant tout son poids sur moi
Il commença par me baiser avec de longue et lentes pénétration, s'en était tellement bon que j'en passais ma langue sur mes lèvres pendant que mes mains s'agrippaient au drap.
Lui:"T'aimes te faire baiser?"
Moi:"Oui vas-y baise moi!"
Je n'eus pas à le dire 2 fois. Ni une ni deux, ses coups de rein s'accélèrent et deviennent de plus en plus brutaux. Je me fais défoncer le cul si fort que l'on entend le lit grincer, ses couilles claquer sur mes fesses, sa respiration et mes gémissements se font de plus en plus fort.
Il se retire d'un coup écarte mes fesses crache dedans. J'ai le cul tellement ouvert que je sens son cracha glisser en moi. Il se dresse derrière moi me claque une fois et dit:"Allez! debout! Tu vas bosser un peu!"
Pendant que je me lève, lui s'allonge:"Suce moi salope!"
Je m'installe entre ses jambes et suce cette queue qui quelque seconde avant avait défoncé mon petit trou. Je me délecte et suce goulûment cette superbe queue.
Lui:"T'as vraiment une super bouche! Allez empale toi sur ma queue!"
Je m'exécute et me présente dos à lui.
Lui:"Non non! tourne toi!" Je me retourne donc, attr a p e sa queue d'une main pour mieux la diriger, et m'assoie dessus. Pendant la descente, je ne peux m'empêcher de fermer les yeux.
Lui:"Humm! Y a pas de doute, t'aimes la bite! Tu vas pas être déçu ici!"
Je ne compris pas, mais cela m'étais égale, je me mis en position accroupi, et me mis à aller et venir sur son pieu. Au début totalement inerte, il attrapa vite mes fesses, et impliqua lui même la cadence. Pendant quelque minute, j'allais et venais sur sa queue, puis très vite, je n'eus plus à bouger car il s'activait dans mon cul. Les mains posées sur son torse je me concentrais pour ne pas basculer à chacun de ses assauts. Cette baise B e s t i a l me rendais fou, j'avais le cul brûlant de plaisir, une main me malaxaient les fesses, me les fessaient, et l'autre me branlait vigoureusement. Il me fut moins d'1 minute pour jouir sur son torse. Il pris mon sperme sur ses doigts et me le mis en bouche jusqu'à ce qu'il n'en ai plus sur lui.
Lui:"Bonne petite pute val!!"
Avec ses mains il me fit basculer vers l'avant pour que je sorte de sa queue. Alors que j'avais la tête proche de la sienne, Il me susurra:"Je vais remplir ton petit cul ok?"
Je lui répondis par un hochement de tête et un petit sourire en coin des plus coquins. Ce petite sourire l'excita et il me jeta sur le lit, attrapa mes jambes pour les placer sur ses épaules et me sodomisa d'une traite. Cette pénétration me fis lâcher un petit: "Humm!" des plus évocateurs. Les jambes posées sur ses épaules, je me faisais ouvrir le cul.
Lui:"Je sens que ça vient petite pute"
Moi:"Vas-y! hummm!"
Lui:"Oh putainn!" Et dans un râle de plaisir et des coups de rein puissant, je sentis mon cul se remplir à chaque fois qu'il tapait au fond de mes entrailles. Avec cet homme au fond de moi, j'étais heureux.
Toujours en moi, il relâcha mes jambes et s'approcha:"T'as vraiment un cul d'enfer chéri! J'imagine que t'as une heure pour rentrer?"
Moi:"Oui je dois rentrer pour manger à 20h!"
Lui:"Bien ça! on a encore du temps alors!"
Je lui fis un sourire et alors qu'il se retirait de moi, je me dis que j'avais peut-être trouver mon baiseur pour les vacances.
Lui:"Tu veux quelque chose à boire maintenant non?"
Moi:"Oui!" en rigolant
Lui:"Ok, bouge pas de là je reviens!"
Il revient avec le verre et une fois fasse à moi je prend sa queue.
Lui:"Attend Attend l'affamé! Faut que je bouge!" Donc je te propose de revenir après que tu ai mangé ok?
Sur un ton très déçu:"Ok"
Lui:"Soit pas déçu, t'aura une surprise tout à l'heure! Par contre je te conseille de prendre une douche comme tu as fait tout à l'heure en sortant des chiottes".
Je quitta donc le bungalow après avoir fini mon verre, lui ne pu s'empêcher de me claquer le cul juste avant mon départ et me dit à tout à l'heure. Sur le chemin je m'arrêta au douche commune et me lava pris soin de bien nettoyer mon cul pour que le jus ne coule plus. Après cette douche je me réinstalla dans ma tente et ni vu ni connu mes parents rentrèrent en pensant que j'étais resté à écouter ma musique.
Pendant tout le repas je m'eff o r ç a is de rester concentré dans les discutions, mais mes pensées étaient dans ce bungalow.
Parents:"Il y a une soirée avec tout les jeunes ce soir t'a vu?"
Je n'avais rien vu mais:"Oui je penser y faire un tour, je dois rentrer vers quel heure?"
Parents:"Tu as ta tente, donc on va dire 2h!"
Et c'est sur ces paroles, après avoir fait la vaisselle et m'être douché que je suis parti en direction de la soirée pour bifurqué vers une autre soirée plus attrayante à mon goût.
Je marche donc vers ce bungalow, où plus tôt dans la journée un bel homme m'avait donné beaucoup de plaisir.
Alors que je m'approche, il est là, assit sur la petite terrasse verre à la main. En me voyant, il me sourit, et je sens mon coeur battre à 100 à l'heure, non pas que j'ai peur, mais je suis terriblement excité.
(Pour plus de facilité j'ai mis des noms factices)
Jean : "Pile à l'heure! Comment va depuis tout l'heure?"
Moi : "Très bien, je pouvais plus attendre" je rougis sur ces paroles
Jean : "Coquin va! Par contre avant de rentrer, sache que je suis pas tout seul en vacance. Tu vois ce que je veux dire?
Moi : "Il y a quelqu'un d'autre à l'intérieur?"
Jean : "Oui, et je comprendrais si tu veux faire demi tour."
Cette situation m'excita encore plus, et ne je ne luis répondis rien, je me contenta d'ouvrir la porte, et je vis 4 hommes nus jouant au carte. Je sentis une main derrière moi se poser sur mes fesses et qui les malaxait.
Jean : "Entre on pourrait voir que je te pelote petit!"
Il me poussa et il ferma derrière nous. A peine entré il glissa sa main dans mon short.
Jean : "Voilà les gars, je vous avais dit qu'elle viendrait! Et en plus sans culotte!
Depuis que j'avais ouvert la porte jusqu'à cet instant, je n'avais pas quitté des yeux ces hommes nus, et les queues que je pouvais voir. Je pouvais voir que les 2 du fond se branlait. Tous me mataient de haut en bas. Je dois avouer que tout allait trop vite pour que j'ai le temps de réfléchir à la situation, et puis peut-être que je m'en fichais au fond.
Jean : 'Vous avez fini?"
Sébastien répondit, il avait la quarantaine, grand et avec du bidon, et très poilu : "Je pense qu'on a finit oui" en souriant.
Il posèrent tous leur carte et pendant que Michel (50 ans grand également et très musclé) et Alexandre ( Le plus jeune de tous, il devait avoir 30 ans, très beau gosse grand également, en fait ils étaient tous grand quand j'y repense) rangeait la table, Sébastien et Philippe (Lui avait un gros bidon, sans doute la bière ^^, mais une queue de cheval) se levèrent et m'entourèrent avec Jean. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire j'étais à poil, leur mains me malaxant les fesses les jambes, la queue, leur bouche m'embrassant le coup. Sans qu'ils ne me le disent, je me mis à genou, et avala la première queue que je vis.
Sébastien : "Oh!! t'avais raison c'est une affamée!
Jean : "Je vous l'avais dit!" Il s'approcha et me susurra : "Tu vas te régaler mon beau!"
Pendant que je m'appliquais à sucer ces belles queues, leurs couilles, goulûment, je vis Jean aller dans la chambre et aidé de Michel, il revinrent avec le matelas, pour le mettre dans le salon.
Michel : "Poussez-vous 2 seconde, qu'on mette ça là." Pendant que le matelas était posé, les 3 que je suçais m'avaient relevé et me caressaient de partout, les doigts s'immisçant dans mon petit trou.
Sébastien : "Ce petit cul à l'air bien accueillant les gars!"
A peine le matelas posé, je me retrouvais projeté sur celui-ci par Sébastien qui me mit à 4 pattes, une queue se présenta devant moi, je la suça sans réfléchir, pour montrer que je leur étais soumis.
Sébastien se plaça derrière moi, il frottait sa queue sur ma raie qui ne s'était pas refermé depuis l'après midi, chose qu'il remarqua.
Sébastien : "Tu l'as bien ouvert le petit mon vieux! Ça va rentré comme dans du beurre Philippe!"
Il cracha sur mon anneau, m'attrapa par les hanches, et me pris jusqu'à poser son ventre sur mes fesses, je lâcha un gémissement étouffé par la queue que je suçais. Pendant les premiers instant, il s'amusait à retirer sa queue tout en m'écartant les fesses, cracher dans mon cul ouvert, me claquer les deux fesses, et me remettre sa queue. Ces enchaînements me chauffaient incroyablement, à chaque fois qu'il ressortait sa queue je reculais mon cul pour qu'il y retourne.
Sébastien : "Ça c'est un vrai cul!"
Au vu de la queue qui se présentait devant moi à ce moment là, je sus que Philippe voulait que je m'occupe de lui, mais avec cette queue, je ne pouvais sucer que le gland, et pendant que Sébastien me pistonnait le cul, et que je commençais à avoir l'esprit dans les nuages, je me dis que cette queue que je suçais difficilement allait faire des ravages.
Les queues devant tournaient, je les suçaient toutes sans ménagement, profitant des changements pour respirer et gémir. Sébastien sortit sa queue et lâcha un simple : "Suivant!"
A peine avait-il sorti sa queue, que je sentis le suivant s'installer. Voyant mon cul bien ouvert, il ne se fit pas prier, et me baisa directement avec de grand coup de rein rapide et puissant. Il me baisa si fort que je m'arrêta de sucer, et gémis.
A ce moment là je ne savais pas qui parlait.
Eux : "Vas-y baise la cette salope! Regarde comment elle ça!"
Mon baiseur : "Putain ce cul! T'aimes ça te faire baiser par des inconnus hein ?"
Moi : "Oui! Plus fort!"
Eux : "Si c'est ce que tu veux!"
Je le sentis pousser vers l'avant pour que je me retrouve allongé sur le ventre, lui sur moi, j'ouvris les yeux, pour voir qui était mon b o u r r e a u , Alexandre me baisa ainsi, s'activant vigoureusement dans mon cul. Il respirait fort, moi je gémissais comme une salope tellement il me baisait bien, les mains accrochées au matelas comme pour résister à ses assauts puissant. Les autres l'encourageaient, se branlaient, Sébastien lui qui m'avait déjà baisé avait allumé la TV, je me dis alors que si après chaque baise ils faisaient tous baisser la tension devant la TV, les 2 heures du matin pour rentrer n'allait pas suffire.
Il sortit, me laissant là haletant, j'attendis quelque seconde pensant que comme la première fois, un autre prendrait la suite, mais rien. Je m'allongea sur le côté fasse à eux, et les regarda tous, cherchant le prochain qui me baiserait.
Michel : "Regardez la! Ses yeux nous supplient de la baiser cette chienne en chaleur!
Alexandre : "Vas-y tu vas voir son cul est extra!"
J'étais allongé devant ces hommes, l'esprit totalement soumis à leurs queue, qui juste en les regardant me mettaient des étoiles dans les yeux. Je me mis alors à 4 pattes et m'avança vers Michel ne quittant pas sa queue. Tous me mataient, sourire en coin.
Jean : "Humm! Le petit se lâche! Il te veut mon vieux!"
La queue de Michel en bouche, les yeux rivés dans les siens comme pour le provoquer, il me dit : "T'aimes ça la queue toi? Je vais t'ouvrir petite salope. Allez viens par là!
Il sortit sa queue de ma bouche me releva, me plaqua le ventre sur la table, me mit 2 doigts comme pour tester la marchandise.
Il me rentra sa queue puissamment, je m'accrocha au rebord de la table, et ferma les yeux. A chaque coup de rein je sentais ses couilles taper fort contre les miennes. Accroché à mes hanches, il répondait à ma provocation de la meilleure des manières. Ma provocation les avaient vraiment chauffés, je me dis que ça allait chauffer pour mon cul. Michel sortit sa queue, me releva, m'attrapa, me roula une pelle d'enfer et totalement inattendu tout en me doigtant, me fouillant.
Michel : "On va te donner ce que tu veux petit"
Pendant ce temps Philippe c'était allongé son énorme queue tendu. Sans peur (Bon peut-être un peu si) je me mis dos à lui, et me baissa en me dandinant langoureusement.
Jean : "Regardez la! Elle a peur de rien cette salope, même pas de ta queue Philippe!"
Les autres rigolèrent mais Philippe ne dit rien, il se contenta de cracher sur sa main et d"humidifier sa queue. Je pris sa queue d'une main, la plaça devant mon trou. Lui m'avait attrapé les hanches, comme pour me dire"tu es à moi". Il me fit descendre lentement, et l'intromission de son énorme gland m'électrisa, je me pinça une lèvre pour remplacer une douleur par une autre. A peine le gland rentré, je bascula en arrière et plaça mes mains de chaque côté de son corps.
Sébastien : "Je te l'avais dit que ça rentrerais comme dans du beurre dans celle la! Dès le premier essai"
Philippe me susurra : "Le plus gros est passé mon beau!"
Il m'attrapa par les hanches, et dirigea ma descente sur son pieux. Je cru ressentir ma première pénétration. Je fis cette descente en apnée, sans pouvoir lutter contre cette poigne, la tête renversée. Une fois totalement rentré, et moi assis sur son ventre je pris une grande inspiration et lâcha : "Oh putain!" suivi de plusieurs inspiration pour chercher de l'air. Toujours agrippé à mes hanches et bien au fond de moi, il fit de léger mouvement de rein qui me déchirait le cul. A chacun de ces mouvements, il me relevait un peu plus, de telle sorte que l'amplitude de la pénétration augmente. Et sans m'en rendre compte, je me faisais ouvrir le cul par cette queue énorme.
Sentant que mon cul avait accepté sa queue, Philippe dit : "C'est bon les gars vous pouvez présenter vos queues!"
Ils ne se firent pas prier et à tour de rôle je suçais leur queue, pendant que j'en suçais un, je pouvais entendre les autres parler de moi, disant que j'avais un trou exquis, félicitant Jean d'avoir trouvé une superbe salope. Le fait que le plus gros de la bande me baise, avait changé le ton de la soirée. Les mots cochons et qualificatifs fusaient. Tous étaient à côté de moi, me présentant sa queue, m'embrassant. Philippe lui me tenait à une hauteur fixe, et me déchirait le cul, de telle sorte que je suçais les yeux fermés en gémissant sans cesse, sentant mes entrailles brûler.
Philippe : "Hummm! Allez au suivant! Son cul est vraiment trop chaud!"
Il me releva totalement, et la sortie de sa queue me fis lâcher la queue que je suçais.
Alexandre : "Vas-y Jean baise la!"
Jean ne se fit pas prier, se glissa sous moi et me fis m'empaler sur sa queue d'un coup.
Jean : "Ahah! J'adore passer après toi! Son cul est béant! Elle est bonne la queue de mon pote hein?
Moi : "Oh que oui!
Jean : "T'inquiètes pas! T'as rien vu, il va vraiment te baiser après!
Le changement de queue était flagrant, et je me dis qu'il m'avait vraiment déchiré les entrailles avec son braquemart. Pendant que Jean me baisait variant rapidités et lenteur, Philippe me présenta sa queue, je souris en la voyant, car même si je l'avais déjà sucée, le fait de savoir que je venais de me faire baiser par celle-ci me rendait fière de moi.
Tout s'enchaînait vite. Jean me mis sur le dos, et me baisa jambe relevée sur ses épaules. Il me baisa 2 minutes ainsi, se retira et Michel prit sa place, tous me prenant à tour de rôle, me baisant puissamment voir plus fort que le précédent. Me voir gémir et les supplier de me baiser, les faisaient sourire, des sourire malicieux.
Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais là, encore moins l'heure qu'il pouvait être, je n'y pensais pas, l'esprit était concentré sur ces hommes dont j'étais la poupée.
Alexandre prenant son tour : "Je sais pas vous, mais moi je vais la remplir cette salope!"
Jean : "Vas-y! Elle adore ça!"
En effet il ne fallut pas longtemps pour que je sente les premiers jets crémeux d'Alexandre et pas les derniers taper au fond de mon trou.
Moi : "Humm! c'est trop bon! Encore!"
Michel : "Bon on la remplie tous une première les gars!"
Alexandre se retira, me lécha le cul pour goûter à son jus, et tous me remplirent dans la même position. Le jus n'avait pas le temps de s'échapper qu'une autre queue me prenait et en rajoutait. Je me sentais remplie, les queues glissaient, même celle de Philippe qui passa en dernier rentra comme dans du beurre, et il pu s'y donner à grand coup de rein au fond de moi, chose qu'il apprécia :
Philippe : "Comme dans du beurre, ton cul est incroyable! Je vais jouir putain! Ohhh!!"
Moi : "Oh oui! hummmm!"
Je sentais chacune de ses giclées puissante, mais il ne s'arrêta pas. Il continua à me baiser, relevant mes jambes pour dégager ma queue, et laisser jean me branler.
Jean : "Tu vas jouir vite avec cette bonne queue !"
Je ferma les yeux, et en effet en quelques secondes, je jouis une grande quantité de sperme, que jean étala sur mon corps, avant de me présenter sa main à lécher.
Sébastien : "Attend avant de sortir!"
Sébastien plaça une serviette sous moi, et Philippe sortit la queue toute juteuse. Alors que je me relevais, je les voyais tous queues à la main, tous dur, Je me dis alors que je ne voulais pas rentrer pour 2 heures, que je resterais. Je sentais le jus couler sur ma raie, et accroupi, je me doigta, c'est alors que je me rendis compte de l'état de mon trou, ne se refermant plus, laissant passer mes doigts sans grande résistance. Je sortis mes 2 doigts et les porta à ma bouche pour les sucer.
Jean : "Il est bon ce jus"
Moi : "Oui très!"
Sébastien : "T'en veux encore!"
Je fis un hochement de tête et dis : "Par contre je pourrais avoir un verre d'eau?"
Tous rigolèrent et Alexandre : "Trop mimi, on te laisse te reposer un peu, on n'est pas des sauvages"
Et alors que l'on me servait un verre, je regardais tous ces hommes qui comme si rien ne s'était passé sortaient prendre l'air, regardaient la TV. Je bus donc mon verre et sur les conseil de Jean je partis à la douche pour ne pas en mettre partout, et être frais pour la suite.
Après cette première partie de soirée incroyable et un peu fatigante, la douche fut la bienvenue. Pendant que je me rinçais mon esprit était envahi par tout ce qui venait de se passer, et je ne pouvais pas m'empêcher de penser à la suite.
Après peut-être 10 minutes passé sous la douche je sortis tout frais, toutes traces de saillie disparu, et prêt autant physiquement que mentalement au second round. Seul Philippe est resté à l'intérieur, je m'avance donc vers la banquette où il est installé.
Philippe m'attr a p e par le bras et me tire vers lui:"Viens par là petit"
Je me retrouve assis collé à cette homme velu et hyper viril.
Philippe:"Alors cette petite douche?"
Moi:"Super, ça fait du bien. Ils sont partis les autres?"
Philippe:"Non non, t'inquiète, ils sont sortis fumer un peu, ils vont pas tarder"
Je ne peux m'empêcher de sourire à l'entente de cette bonne nouvelle, tellement heureux d'avoir osé franchir la porte, et que la soirée ne soit pas terminée.
Philippe:"Tu veux bien me faire plaisir?"
Moi souriant:"Oui bien sur"
Philippe:"Ramène moi une bière du frigo mon beau!"
Il voit à la tête que je fais que j'attendais un autre ordre, mais se contente de sourire, et au moment où je me lève, il me claque le cul, ce qui me fait lâcher un petit cri de surprise. Je pouvais sentir son regard insistant sur moi, lui aussi devait comme moi repenser à la première partie de soirée. Lorsque je me retourna avec sa bière, mon regard descendit directement sur sa queue qu'il commençait à branler, et bien qu'elle n'était pas encore à son maximum, elle était déjà bien imposante.
Je m'approche de lui sans quitter sa queue des yeux, pose la bière sur la table.
Philippe:"Allez sous la table petit! Tu m'excite trop! Tu vas me sucer en attendant les autres!"
Je m'exécute sans rien dire, j'en avais trop envie, depuis que j'étais sortie de la douche, je ne pensais qu'à ça. Je me glisse donc sous la table et gobe difficilement sa queue. Elle est délicieuse, et regrette de ne pas avoir pu la sucer en entière. Je du me contenter de son gland, et de lécher sa hampe. Installer ainsi sous la table, je me sentis chienne, soumis à ses désir. Sa queue, ses poils, ses couilles, sa façon autoritaire de me parler, tout dans cette homme me rendait fou, et à cette instant je su que je voulais revoir cette homme en particulier, être à lui personnellement . C'est alors que totalement concentré sur cette queue, je sentis une main derrière se poser sur mes fesses. J'avais eu l'esprit tellement prit, que je n'entendis pas rentrer mes 4 autres b o u r r e a u x, qui ne perdirent pas de temps.
Eux:"Pas rassasiée la petite salope, c'est une bonne nouvelle pour nous ça!"
"Bon vu que Philippe est déjà bien dur, c'est lui qui va commencer cette fois!"
Ils pensaient m'effrayer en me disant ça, mais j'en crevais d'envie. Je lâcha sa queue, et me tourna pour attr a p e r la queue de celui qui c'était assis derrière moi et qui me malaxait les fesses, et ainsi présenter ma croupe à Philippe. Pendant que je suçais goulûment cette queue, un autre s'assit à côté, et ainsi je passais d'une bite à une autre, et Philippe me doigtais férocement mon petit trou.
Philippe sentant mon trou prêt:" Allez sort de là dessous!"
Je quitte mes deux queues, et sort à 4 pattes de sous la table, les 2 doigts de Philippe toujours dans mon cul, me dirigeant vers le matelas.
Jean me présentant sa queue à sucer:"A partir de maintenant on va te baiser non stop!"
J'acquiesce en avalant sa queue, et en le suçant énergiquement. J'en profite pour me cambrer et m'offrir au maximum, des mains me caressent de partout, je ne peux les compter. Philippe de son côté frotte sa queue sur ma raie, mais cela ne dure pas longtemps. Encouragé par ses potes, il crache sur mon trou, m'écarte les fesses et me prend d'une traite, me rentrant son gourdin jusqu'au couille, heureusement que mon cul est encore bien ouvert, c'est qui me permet de le recevoir sans hurler de douleur, mais juste en gémissant.
Sébastien se branlant en face de moi:"Cette salope est déjà habituée à ta queue!"
Les autres rigolent, et j'entends dans ces rires:"On va te défoncer"
Philippe:"Je vais bien vous l'ouvrir les gars!"
Il sort sa queue, se met sur ces jambes au dessus de mon cul, s'appuie sur mes hanches, et me remet sa queue et commence à me pistonner. Dans cette position les va et vient sont profond, et je me met à gémir comme une salope, gémissement qui sont masqués par les queues qui se suivent dans ma bouche, je ne sais pas qui je suce, combien de queue sont passées. Je sens mon cul brûler sous les coups de rein de Philippe qui ne s'arrêtent pas, on n'entend plus que mes gémissements, les râles de Philippe et les encouragements des autres. Après plusieurs minutes durant lesquelles Philippe m'ouvre littéralement le cul, il se retire d'un coup me faisant lâcher un cri. Je peux sentir l'air rentrer en moi.
Philippe:"Oh la vache, ce cul! Il encaisse sans broncher"
Michel:"Reste comme ça! Je prend le relais"
Je sens son cracha glisser dans mon trou béant, et dans la même position que Philippe, il me prend d'abord lentement, puis après une claque sur le cul, me baise plus vite et plus fort. J'ai l'impression qu'ils jouent à celui qui me fera le plus gémir. Je les entends parler, mais plus le temps passe, moins je suis présent, totalement abandonné.
Michel:"Il est vraiment trop bon ton petit cul! Suivant les gars, sinon je vais jouir trop vite"
Sébastien se place sous moi, je me place dos à lui et m'assis complètement sur sa queue tendu.
Sébastien:"Oh! C'est trop bon!"
A peine assis, les queues se présentent pour que je les sucent. Pendant que Sébastien me maintient à une hauteur et me baise, Jean est debout face à moi, me présente sa queue, m'attr a p e la tête, et me v i o l e la bouche à m'en faire verser des larmes. Quand il ressort sa queue, je reprend ma respiration pour gémir, lui m'essuie les larmes, et vient me rouler un patin qui m'électrise et me fait chavirer. Il peut sentir en m'embrassant que je gémis en même temps, car j'ouvre ma bouche plus grand sous les coups de rein de Sébastien. Il se retire brusquement, immédiatement remplacé par un autre. A partir de ce moment les queue se succèdent à une vitesse folle dans mon cul et ma bouche, du moins c'est l'impression que j'en ai, mon esprit étant totalement absent, et incapable de sentir autre chose que ces hommes me prendre.
Je n'ai le temps de respiré que lorsque Michel qui me baisent moi sur le dos mes jambes autour de ses hanches, se retire monte sur moi pour mettre sa queue face à bouche.
Michel:"Ouvre grand, je jouis!"
J'ouvre grand ma bouche, au même moment je sens Alexandre s'installer dans mon cul, ce qui me fait fermer les yeux, et de longue giclé viennent remplir ma bouche. Je m'en délecte et n'en perd pas une goutte. Michel me donne sa queue à sucer, et à nettoyer.
Michel:"C'est ça nettoie moi bien, suce moi bien, si tu veux que je te la remette! Tu la reveux n'est-ce pas?"
Moi haletant sous les coups de queues d'Alexandre:" Oui! encore! C'est trop bon!"
Michel se retire du combat, et Alexandre en profite pour appuyer sur mes jambes jusque sur mes épaules, ce qui écarte au maximum mon cul, et relève celui-ci.
Alexandre:" Tu veux que je te remplisse?
Moi:"Oui donne moi tout"
Jean:"Arrête de jouer avec cette salope, elle veut juste qu'on la baise"
Il me regarde, et me pénètre jusqu'à la garde:"T'as raison baisons la!" et me ramone comme un fou, appuyant de plus en plus fort sur mes jambes, puis il s'arrête d'un coup au fond de moi.
Alexandre:"Bouge pas! Pas envie de te remplir tout de suite!"
Moi le suppliant du regard:"J'en ai envie!"
Jean:"Donne lui, ne froisse pas notre invité!"
Il reprend ses coups de rein de manière lente mais puissante, puis accélère et dans un râle de plaisir, lâche sa semence au fond de mes entrailles me faisant gémir.
Ensuite je n'ai que des souvenir de bite giclant sur moi, de queue se battant pour être sucée, de mon cul brûlant et coulant de sperme. Je ne sais pas dire combien de fois ils ont jouis cette nuit là, mais je me souviens très bien que le jus coulait le long de ma raie et sur mes jambes, qu'il me manipulait comme une poupée. La douche fût longue pour tenter de cacher cette nuit que je venais de subir.
Moi sortant de la douche, les yeux fatigués:"Je vais rentrer je crois, je suis m o r t !"
Philippe:"Oui nous aussi, tu nous as tués"
Moi:"Il est quel heure?"
Philippe:"4 heures passé!"
Moi:"m e r d e je devais rentrer à 2 heures"
Jean:"T'auras qu'à dire que tu t'es trouvé une minette"
Philippe:"Ouai voilà, même si c'est lui la minette"
Jean:"Repasse quand tu veux! Il y a toujours quelqu'un!"
Moi:"Faut que j'y aille"
Un peu effrayé par l'heure tardive, je suis parti en faisant un simple signe de la main. Arrivé devant ma tente, le bungalow de mes parents étaient éteint heureusement. Je me mis nu dans ma tente, et m'endormis aussitôt les yeux fermés.
Le réveil fut difficile, et les outrages de la nuit me brûlaient encore. Mon père m'avait entendu rentré, mais l'explication de la fille passa comme une lettre à la poste. D'ailleurs cette fille me servit d'excuse pour toutes les vacances, ce qui me permit d'avoir mon tête à tête (ou tête à queue au choix) tant espéré avec Philippe.
Mais cela est une autre histoire.
Le lendemain de la nuit de folie passée avec ces 5 hommes je ne peux m'empêcher de penser fortement à l'un d'entre eux en particulier: Philippe, l'homme à la queue énorme qui m'ouvrit toute la nuit, une sensation que je voulais de nouveau ressentir, je voulais être à lui.
Toute cette journée j'espérais le croiser et peut-être qu'il m'aborderait me disais-je, mais rien ne se passa, pas de rencontre, mais une soirée plus reposante que la veille qui me fit le plus grand bien à vrai dire.
Le lendemain je me décida à aller voir du côté du bungalow de mes nouveaux amis, en espérant y trouver Philippe. A cet instant je ne voulais que lui, rien d'autre ne me donnais envi, et après 3 passages devant le bungalow à chercher Philippe, Michel qui venait de sortir me fit un sourire et me fit signe d'approcher.
Je m'approcha donc, et voyant que j'arrivais, il rentra dans le bungalow, je me dis alors que le tête à tête serait pour une autre fois, que ce n'était pas grave. Je rentra donc dans le bungalow plus serein que la première fois, Michel debout était seul.
Michel:"Salut petit! Comment va depuis avant hier?"
Moi:"ça va merci!"
Michel:"Pas trop mal au cul?"
Moi en rigolant:"Un peu de mal à m'asseoir"
Il rigole:"Bon tu cherche quelqu'un je me trompe?"
Moi rougissant:"Euh non! Enfin oui je cherche Philippe"
Michel:"Ahh! ce bon vieux Philippe! On était sur que tu passerais pour lui! Il en a du bol le salaud! Il est à la plage avec les autres, je vais les rejoindre, tu veux venir?"
Moi déçu:"Euh non merci, c'est pas grave!"
Michel m'attrapant le visage:"Bah fait pas cette tête! Je vais lui dire que tu es passé! Soit ici à 16h00, ok?"
Moi souriant:"Oui merci!"
Michel:"Allez file avant que je te saute dessus"
Moi ne réfléchissant plus:"La prochaine fois"
Ce n'est qu'en partant et en marchant vers la piscine que je me suis rendu compte que je venais de donner une invitation à Michel sans m'en rendre compte, juste sous le coup de l'excitation et Quel vacance me dis-je.
Je passa donc l'après-midi à la piscine à bronzer et à languir en attendant 16h00, et je me pointa comme convenu où m'attendais Philippe souriant juste habillé d'un short à travers duquel j'imaginais très bien sa queue. Le voir m'émoustilla, et je ne quitta pas ses yeux, je m'amusais à provoquer ce mâle viril, moi le petit minet.
Philippe:"Alors comme ça on me cherche?"
Moi:"Oui"
Philippe:"Et qu'est ce que tu veux?"
Moi:"Euh Toi!"
Philippe me regarde fortement:"Mieux que ça!"
Moi parlant pas trop fort:"Je veux ta queue!"
Philippe:"Tu veux ma queue à tout pris toi! Bien Allez suit moi!"
Moi qui avait pris mes marques dans ce bungalow (bon je n'avais pas pris que mes marques c'est vrai), on s'en éloigna, sans un mot, jusqu'à arriver, après 5 min de marche qui me parurent une éternité, à une caravane devant laquelle était assis un homme d'au moins 70 ans qui se sirotait son petit alcool.
On s'arrêta à quelque mètre.
Philippe:"Comme je ne peux pas monopoliser le bungalow, et que je veux te baiser pendant un moment, il y a la caravane de mon vieil ami qui est là!"
Moi impatient:"Oui oui!"
Philippe:"Seulement il faut que tu accepte qu'il regarde"
Moi trop exciter:"Ok"
Nous nous approchons donc de cet homme. Philippe et lui se salut et je sens son regard pesant se poser sur moi. A ce moment je me demande ce que je fais là, je baisse le regard, vois la bosse de Philippe et m'en rappelle immédiatement. Philippe m'ouvre, me pousse pour me faire rentrer et referme derrière moi. La caravane est bien rangée, propre, mais surtout agencée pour la baise. En effet ce petit cochon avait installé un fauteuil en direction des 3 banquettes qui faisaient offices de lit, et un petit projecteur éclairait tout ça.
Philippe me rejoins dans la foulée:"Tu plais beaucoup à Roger, il m'a demandé si ça te dérangerais pas de lui faire une petite gâterie?"
Moi attendris par cette demande:"Non, bien au contraire!"
Philippe se rapprochant de moi me faisant reculer vers les banquettes:"J'en étais sur!" Et sur cette parole je bascule sur la banquette pour me retrouver assis les yeux bien en face de sa bosse. Il mit sa main dans son short et joua avec sa queue.
Philippe:"Tu sais ce que tu veux toi? Hein?!"
Je ne répondis rien, approcha ma tête de sa bosse et l'embrassa à travers son short, la lécha. Je sentis alors que la pression montait, je décida donc de poser mes mains sur sa taille et fit descendre lentement son short, ce qui fit sortir l'arme de son fourreau. Elle était vraiment magnifique, je ne pus m'empêcher de sourire à la vue de celle-ci, et je l'imaginais déjà au fond de moi, moi tout à lui.
Je relève le regard, et attend son approbation pour m'occuper de lui.
Philippe posant ses mains sur ma tête:"Vas-y, elle est tout à toi mon beau!"
J'attr a p e sa queue à 2 mains (il fallait bien ça) et avant de l'avaler, je la lécha sur toute sa longueur, jusqu'au couille, chose qu'il apprécia au vu des sons qu'il émettait. Comme la soirée précédente je ne pus avaler plus loin que son gland, ma bouche étant trop petite pour une si grosse queue, mais je m'appliquas tout de même à ce que chaque cm2 soit léché, goûté par ma langue et mes lèvres. Pendant que je suçais Philippe, Roger c'était installé sur son fauteuil et ne loupait rien du spectacle.
Philippe sortit de mon emprise pour enlever son short. Il me fit allongé sur le dos de tel sorte que j'ai le cul sur le bord, il se plaça pour que Roger puisse voir, il releva mes jambes et m'enleva mon short.
Philippe:"Elle est pas magnifique celle-là?"
Roger:"Superbe jambe, superbe cul!"
Je ne sais pas ce qu'il fit à ce moment, mais j'imagine bien ce vieux cochon sortir sa queue pour se branler en me matant. Philippe lui se lécha 2 doigts et me les fourra, et cela sans difficulté car mon cul était toujours bien ouvert des outrages précédents. Chose qu'il remarqua car il s'empressa de rajouter un troisième doigt. Il écarta mes fesses pour en faire profiter au voyeur.
Philippe:"T'es bien ouvert d'avant hier! On va pouvoir attaquer sans trop de préparation!"
Roger:"Vas-y mollo j'ai pas envi qu'il chiale le petit!"
Philippe:"T'inquiète il a déjà goûté! Hein?"
Moi:"Oui prend moi!"
Philippe:"T'as vu?"
Pas de réponse, je jetta un regard vers le fauteuil, Roger se contentait de se branler.
Philippe me fit mettre debout, et me demanda de tourner sur moi même.
Je m'exécuta et me cambra un maximum ce qui le rendit fou, il me jetta sur la banquette, je me retrouva sur le flanc, m'attrap par les hanches, et me fit mettre à 4 pattes. De mon côté je me cambra pour lui montrer que j'étais prêt. Il me tira vers lui pour que j'ai les genoux au bord de la banquette. Je sentis un cracha glisser sur ma raie qu'il s'empressa d'étaler, puis il posa son gland volumineux. Instinctivement je ferma les yeux, et m'accrocha au drap. Je suis prêt à être à lui. Bien accroché, il poussa pour passer mon anneau.
Philippe sentant son gland rentrer:"Oh putain que c'est bon"
Moi je ne pus parler, je n'émis qu'un son, un léger gémissement qui s'échappa. Il me veut à lui tout de suite, et il continu sa lente progression en me tirant vers sa queue, et en poussant avec ses reins. A cet instant je ne respire plus, sentir ce morceau de chaire se frayer un chemin en moi est incroyablement divin, je veux qu'il ne s'arrête jamais.
Philippe une fois tout au fond de moi:"Ouhh! humm!"
De mon côté je pris une grande inspiration, suivi de plus courte et rapide, je recherchais mon souffle qui fut coupé par cette intromission profonde. A peine ma respiration trouvée, je le sens qu'il recule et qu'il commence ses vas et vient en moi. C'est incroyable, je gémis immédiatement à chaque fois qu'il revient an fond de moi et respire quand il recule. Le sentir aller et venir en moi est juste jouissif et je me laisse aller à ce plaisir, en me laissant guider par ses mains fermement accrochées à mes hanches, sans aucune résistance de ma part.
Philippe sortant sa queue:"Écarte pour qu'on apprécie ton trou!"
J'écarte bien mes fesses pour m'ouvrir au maximum, ce qui semble les combler.
Roger se branlant énergiquement:"C'est très beau tout ça!"
Philippe me claqua le cul et me poussa pour que je me mette au milieu de la banquette, lui en profita pour se mettre à genou derrière moi, cracha de nouveau sur mon cul et se réintroduisit en moi, et quel délice. Dans cette position Roger nous voyait de profile, et pouvait voir quand je tournais le visage vers lui, le plaisir inouïe que je prenais.
Roger:"Cette salope adore ça"
Philippe:"Attend que je la baise à fond ! Elle va pas arrêter de gémir ! "
Les écouter parler de moi m'excitais terriblement.
Moi tournant la tête vers Philippe et le suppliant du regard : " Baise moi oui ! "
Philippe : " C'est ce que tu veux ? "
Moi : " Oui, prend moi !"
Ni une ni deux, il attrapa un coussin qui traînait, le placa sous mon ventre, et appuya sur mon dos pour me f o r c e r à m'allonger. Il tira sur mes hanches pour relever un peu mon cul, cracha dessus, posa une main à côté de ma tête, et de l'autre dirigea sa queue dans mon petit trou. Je ferma les yeux, et je sus au fond de moi que la partie commencait. Une fois son pubis contre mes fesses, il posa son autre main de l'autre côté de ma tête, de telle sorte que je pouvais sentir son poids sur moi. Je lui appartient, aucun moins d'y échapper. Il recula lentement, puis me remit tout brutalement. A chacun de ses coups de rein, je ne pus m'empêcher de lâcher un " Ahhh ! " des plus évocateurs. A chaque aller retour, je sentais que la cadence accélèrais, ce qui fit que me petits cri se rapprochèrent, jusqu'à ce qu'il choisisse une vitesse infernale, durant laquelle je ne fis que crier.
Moi : " Ahhh ! Ahh ! Ouiii!!Ohhh !! C'est !!! trop !! bon ! Humm ! "
Il fit aller et venir sa queue de toute sa longueur, je sentis mon cul brûler sous ses assauts a m'en mordre les lèvres.
Après plusieurs minute à me faire pistonner, il s'allongea sur moi, m'embrassa dans le coup, me mordilla l'oreille et ralentit sa cadence pour me baiser avec de lent coup de queue.
Philippe me susurrant à l'oreille : " Tu l'aimes ma queue ?"
Moi reprenant mon souffle:"humm! Oui!"
C'est dans ce moment de repos sensuel que je remarqua que Roger était sorti. Tellement absorbé par cet homme me baisant férocement, que je n'avais pas senti, ou entendu l'hôte prendre l'air.
Philippe se releva pour me libérer, et se prit un verre d'eau. En le regardant je me dis que cet homme est incroyablement viril, et cette queue juste wahoo!
Philippe : "Viens te réhydrater, je voudrais pas que tu tombes dans les pommes, fait chaud ici ! "
Je me leva, et me colla à lui pour me servir un verre. A peine le temps de finir mon verre, qu'il m'écarte les jambes et me pris debout avec le lavabos pour ne pas chavirer. Il s'active m'obligeant à me cambrer et à me pencher légèrement pour mieux m'offrir.
Roger rentrant et s'installant sur son fauteuil juste à côté de nous : "Je vais sortir Philippe"
Philippe : " D'accord ! "
Il sortit sa queue et me fit mettre à 4 pattes la tête dans l'entre jambe de ce vieil homme. Je compris bien sûr qu'il était l'heure de la petite gâterie de monsieur, mais surtout que le tête à tête approchait. Sachant cela je me jeta comme un affamé sur sa queue relativement dur, et pendant que Philippe me bouffait le cul divinement, je suca avec gourmandise. Je m'y pris s'y bien, qu'il me remplie dans un râle la bouche d'un léger mais épais liquide.
Roger : " Comment tu fais pour pas jouir avec une salope pareil? "
Philippe qui arrête de me bouffer se contente de sourire. Il me balance sur le lit et discute avec Roger.
Roger : " Bon tu sais où sont les draps, alors amusez-vous bien ! "
Philippe me regardant la queue à la main: " Oui t'inquiète pas pour nous ! "
Je répondis à ce sourire malicieux en me mettant sur le dos et en tenant mes jambes vers mon torse.
Ce que je souhaitais arriva enfin. Nous voilà tout les deux ! Il se rapproche tout en se branlant, monte sur la banquette crache sur sa main pour humecter son dard , le pose à l'entrée de mon trou, attr a p e mes chevilles, et met un grand coup de rein jouissif. Il me besogne si fort et si profondément que je ne me contrôle plus, les yeux révulsées la plus part du temps. Quand ils sont ouvert je lève la tête pour voir son épée m'ouvrir en deux, la bouche grande ouverte pour respirer et gémir, et les mains cherchant de quoi m'agripper. Tantôt il écarte mes jambes, tantôt il les colle, tantôt il appui de tout son poids dessus ce qui relève mon cul. Ses changements de rythme me font tourner la tête. Il est bien resté 10 bonnes minutes sans sortir sa queue, alors quand il la fit, mon cul resta ouvert et j'ai cru mourir car je souffrais d'un manque intérieur.
Moi : "Reprend moi stp ! "
Philippe : "Humm ! accroc à ma queue ? "
Moi sentant l'air emplir mon cul en me mettant à 4 pattes pour sucer cette queue : " Oui ! Elle est trop bonne ".
Je branla sa queue me réjouissant en voyant son gland apparaître sous un épais prépuce à chaque va et vient. Mais il ne me laissa pas le temps de poser mes lèvres dessus, car il passa au dessus de moi et il me prit lui sur ses pieds moi à 4 pattes. Le buste vers l'avant en appuie sur ses bras, la pénétration fut profonde et puissante. Chaque assaut v i o l ent est entre coupé d'instant durant lesquelles il ressort totalement sa queue, m'écarte en grand les fesses, crache dans mon trou béant, et me reprend. Ces moments m'écarquillèrent à chaque fois les yeux.
Philippe : " Je sens que ça vient, je vais bien te remplir, tu veux ? "
Moi : " Oui je veux tout ! "
Il serra fort mes hanches et se mit à me démonter si fort que je hurla de plaisir agrippé au drap la tête dans un coussin pour étouffer mes cris.
Philippe : " ohh Ca vient ! "
Et dans un coup de rein puissant il se colla contre mes fesses et je sentis sa première giclée me remplir, puis il recula, et à chaque fois une nouvelle giclée me remplie quand il vint taper au fond de moi et ceci 4 5 fois.
Moi : " Ohh c'est trop bon !! "
Philippe : " Écarte chérie ! "
Je m'exécute et écarte mes jolies fesses. Il se retire lentement et une fois sortie reste au dessus de moi, et presse sa queue pour faire tomber les dernières gouttes. Une fois celle-ci absorbée, il replongea sa queue puis la ressortit et se mit debout face à la banquette. Je comprend ce qu'il veut et me dandine vers lui, son sperme commençant à dégouliner le long de ma raie, et je m'applique à nettoyer ce pieu divin. Pendant que je le suçais, je ne pouvais m'empêcher de me doigter et sentir tout ce jus sortir me rendais fou.
Philippe : "T'en a pas eu assez ?
Moi : "Encore ! "
Philippe : " Je t'adore. T'inquiète je débande pas. Tu m'excite trop pour ça. "
Il proposa de se désaltérer, sa queue ne débanda pas. Je m'approcha et je bus dans son verre. Il en profita pour voir les dégâts qu'il avait causé en me doigtant.
Philippe : "On est pas pressé j'espère ? "
Moi : "Non j'ai toute la nuit cette fois "
Philippe : " Super ! je vais pas t'achever tout de suite dans ce cas ! Va t'allonger !"
Totalement soumis, je vais m'allonger, et le vois mettre son short. Il peut voir un début de déception dans mon regard.
Philippe : " Je sors juste m'en fumer une !" ce qui me rassura immédiatement.
Et en effet les petites pause furent importante, sans elles je n'aurais pas tenu avec cet animal.
Allongé sur le côté, je me laissa absorbé par ce qui venait de m'arriver, le cul dégoulinant. Voulant être un minimum propre pour la suite, et ne voyant pas de douche, je paniqua un peu.
J'entrouvre la porte : " Euh ! Y a pas de douche ! "
Philippe : " Pas la peine d'aller te doucher tout de suite, tu seras tout aussi transpirant dans 5 min. Tu iras plus tard pour reprendre de f o r c e s " et referme la porte.
J'obéis sans broncher et retourna m'allonger. Il me rejoins quelque seconde après, il se met nue, ce qui me montre que monsieur à débander et je me ravie à l'idée de devoir refaire grossir ce molosse. Il vient s'allonger contre moi, et sa présence, son torse contre mon dos, son souffle dans mon cou m'électrise. Il me caresse le ventre, le dos, les fesses, les jambes, tout y passe. Je me laisse aller à ce moment de tendresse et tourne la tête pour l'inviter à m'embrasser. Au contact de sa bouche et de sa langue je me retourne pour être face à lui, et alors qu'il me caresse les fesses, mes mains sont déjà posées sur sa queue et la branle, sans que je m'en sois rendu compte.
Il s'allongea sur le dos, j'en profita pour descendre vers l'objet de tout mes désirs, et me jetta sur sa queue qui commence lentement à reprendre sa forme. A genou entre ses jambes, mes 2 petites mains sur son engin, je tend sa queue bien droite vers le ciel. Je joue avec son gland, je m'applique à lécher toute sa hampe.
Philippe. "Ramène ton petit cul par là "
Je me tourne, et nous entamons un 69 des plus fabuleux, lui fouillant mon trou avec sa langue et ses doigts, moi bouffant sa queue autant que je peux.
Après plusieurs minute de ce traitement, je reçus une claque. Je lâcha sa queue qu'il attrapa pour la garder tendu.
Philippe : "Tu l'aimes ma queue hein ? "
Moi : "Oui "
Philippe : "Empale toi dessus. "
Je me leva au dessus de lui, et m'accroupis pour m'asseoir sur ce pieu. La descente se fit sans problème. En effet sa salive, plus son jus, mais surtout la baise précédente, font que ce ne fut que du plaisir. Accroupi les mains posées sur ses jambes, penché vers l'avant, je bouge de bas en hauts les yeux fermés, me mordillant les lèvres. Lui, avait posé ses mains sur mes fesses et les écartaient pour mieux admirer le spectacle.
Philippe : "Ouai ! Vas-y bouge bien salope ! "
Je le sentis essuyer son sperme qui coule de temps en temps. Il me laissa aller et venir sans intervenir se contentant de commenter le spectacle. Ses paroles m'excitèrent terriblement, et j'accélèra la cadence en m'eff o r ç a nt de bien aller sur toute la longueur.
Philippe : "Bascule vers moi "
La manoeuvre fut difficile, car j'avais peur de basculer, mais j'arriv à placer mes mains autour de lui. Il m'attrapa les hanches et me fit asseoir complètement sur sa queue avant de donner un petit coup de rein pour aller plus loin. Ses mains me firent aller et venir sur sa queue, mais à mes mouvements il associa les siens en venant taper à chacune de mes descentes, me faisant gémir à chaque coup. Plus les secondes passèrent, plus il accélérait, plus ma tête basculait en arrière, jusqu'à ce que je m'allonge sur son torse, les jambes relevées dans ses mains fermes. Je me laissa complètement aller à gémir sous ses coups de boutoir, flottant sur son corps.
Philippe : " Oui vas-y jouis ! Cris petite salope".
Sentir sa queue glisser en moi, ses mains enserrer mes jambes, son souffle fort, tout cela me rendis fou. Il lâcha une de mes jambes qui tena dans le vide totalement flasque, et me branle. Sa main plus sa queue me firent jouir en moins d'une minute. Il avait raison, la douche fut inutile, car j'avais le torse et le ventre tout gluant. Toujours en moi, nous basculons sur le flanc, il se met bien au fond de moi, et étale mon sperme avec ses doigts, puis me les met en bouche pour que je les nettoie. Il attend toujours en moi que le tension de ma jouissance descende, et m'embrasse, me caresse.
Moi après quelque minute quittant sa bouche: " Reprend-moi ! "
Il ne se fit pas prier, et il reprit ce qu'il avait si bien commencé. Une jambe dans sa main, corps contre corps, sa queue m'emplis de plaisir. Ses mouvements sont lent et long, je gémis doucement la tête sur son bras.
Philippe tout en me besognant lentement: "Tu veux que je te baise ?"
Moi : " Oui baise moi ! "
Toujours en moi il nous fait basculer pour que je me retrouve sur le ventre lui sur moi. Il se redresse, puis décide finalement de rester contre moi allongé, s'appuyant sur ses avant bras pour ne pas m'écraser. Cette position m'offre totalement à lui. Ses coups de queue rapides, mêler à la sensation de son poids m'écrasant et me dominant ne me firent pas divaguer mais presque. Il se mit sur ses mains et me libéra de son poids, puis commença à vouloir sortir sa queue. Toujours sur le ventre, j'accompagnais son mouvement en relevant les fesses.
Philippe : " Ouai vas-y bouge ton cul ! "
Il se tient ainsi sans bouger, tandis que de mon côté je coulisse de bas en hauts sur sa queue, ce qui l'excite. Au début immobile, il se décide à venir à ma rencontre, jusqu'à reposer tout son poids sur moi, puis recula pour sortir sa queue de mon emprise. Cette sortie brutale me fis gémir.
Philippe : " Petite salope ! Tu voulais pas lâcher ma queue ! A 4 pattes que je vois comment t'es dilaté maintenant !"
Je me mis sur mes genoux, la tête posée sur la banquette, et écarta les fesses. Je ne sais pas ce qu'il a vu, mais ça lui plus.
Philippe tout en plongeant 2 doigts: " Hmm, c'est bon ça !"
Quelqu'un frappa, Philippe ouvrit la porte et laissa rentrer Michel. De mon côté je ne bougea pas et me contenta d'attendre.
Michel : " Ça se passe bien visiblement ! Je vous dérange pas plus longtemps, je passe juste te dire que le bungalow est libre pour la nuit. "
Philippe : " Ah ok ! Bah on va en profiter alors ! Rhabille toi on déménage !"
Je ramasse mon short vite fait, et en moins de 20 secondes les draps sont changés et nous nous dirigeons vers leur bungalow. Au vu des gens qui finissaient de manger, il devait être entre 20h et 21h. Une fois arrivé, Michel nous souhaita une bonne soirée, et nous rentrâmes.
Philippe : " File dans la chambre, j'arrive ! "
J'entrai, alluma, enleva mon short et me remiis dans la position que je venais de quitter. A peine en position, il me rejoignit avec un tube de gel dans la main.
Moi surpris: " C'est quoi ? "
Philippe : " Du gel chauffant ! Tu vas adorer ! "
Ne connaissant pas, je ne dis rien, a vrai dire je m'en fichais. Je remarqua également que sa queue n'a pas débandée et j'en suis ravie. Il se plaça derrière moi à genou, et je sens qu'il verse son lubrifiant sur mon trou.
Moi : " Je ne sens rien du tout ! "
Philippe : "Ah oui ! " Et sur ces mots, il m'enfourche jusqu'au couille. Je sentis une grande chaleur m'envahir le cul, et je me demanda ce qu'il se passait, c'était incroyable. Il ne s'arrête pas là et me pistonne avec de grand coup puissant. Je cris de plaisir, le cul en feu, je le supplie de ne pas s'arrêter. Après quelque minute l'effet s'estompe et je reprend une respiration normal. Voyant cela il sortit sa queue, et versa le gel ravageur dans mon trou béant. Sur le moment, je me dis que j'allais mourir de plaisir. Il me fit mettre sur le dos, relèva mes jambes sur ses épaules et prit possession de mon cul vigoureusement. La tête posée, la bouche grande ouverte, je gémis, cria, supplia, exulta. Ce gel décuplait la plaisir procuré par sa queue glissant en moi. Je ne me contrôla plus, mon corps était totalement relâché, offert à cet homme. A cet instant je n'étais qu'une poupée qui jouissait du cul.
Philippe ralentissant : " Alors tu sens rien c'est ça ? "
Moi entre des respiration forte : " Ohh ! (respiration) Siii !(respiration) Sii !(respiration) ! C'est trop bon ! "
A peine cette phrase finie, il appuya sur mes jambes pour relever mon cul, et il sortit son membre. Le contact de l'air dans mon cul brûlant me fit du bien.
La vue de son gland à quelque cm de mon entrée me redonna également de l'énergie, mais ce ne fut pas pour autant que je retrouva le contrôle de mon corps. Je ferma les yeux pour essayer de me concentrer, quand je sentis un liquide m'emplir. J'ouvris les yeux, et le vis poser le tube. Je me dis qu'il était fou.
Philippe ne dis rien, il savait qu'il avait gagné, que j'étais totalement accroc à lui, et qu'à ce moment j'étais tout à lui. Il se mit sur ses pieds, appuya encore plus sur mes jambes pour lever mon cul. La pénétration fut directe, et immédiatement mon cul brûlant me fit révulser. J'aurais pu me dire que cet homme était fou, mais je ne pouvais penser, trop submergé par toute cette chaleur, ce plaisir. Mes gémissements étaient complètement saccadés, et ne suivaient pas le glissement de son pieu.
Moi perdant pied : "Baise moi ! Oui ! "
Philippe au rythme de ses coups de bite : "Tient ! Tient ! Joui ! Petite!salope ! "
Ah ça je jouis oui, je n'ai fait que ça même.
Philippe accéléra à m'en faire perdre l'esprit, et je sentis son jus de nouveau me remplir. Son jus apaisa mon cul brûlant, comme une pommade. Une fois vidé, il se retira, il respirait fort lui aussi, en effet sa baise infernale m'avait peut-être tué, mais je n'étais pas seul.
Philippe relâcha mes jambes qui tombèrent comme 2 masses sur le lit. Je peina à ouvrir les yeux, mais je le vis se lever.
Philippe : "C'est bien petite salope ! T'as tenu le choc ! Je te laisse reprendre tes esprits ! Prend ton temps chérie ! " sort et referme derrière lui.
Allongé sur le dos, les bras écarté sur le lit, les jambes flottantes, le cul toujours brûlant malgré son jus crémeux, je n'arrivais pas à reprendre mes esprits, et me concentra pour calmer ma respiration. Je due bien rester 20 minutes complètement inerte dans cette chambre, incapable de quoi que ce soit, à sentir son jus couler en moi.
Philippe entrouvre la porte : "Tu émerge ? Oula non visiblement, t'as pas bougé. Allez vient"
Il me tire doucement par le bras m'obligeant à me lever. J'aimais beaucoup cet homme mais la je me dis que je ne pouvais pas reprendre.
Philippe : "Allez debout, j'ai fait à manger ! "
Ses paroles me rassurèrent, et je me leva difficilement. Le cul trempé, je m'approcha de la banquette du salon.
Philippe : "Hophophop !
Moi : "Pardon ? "
Philippe: "Tien. Met ça sous toi, pour pas en mettre partout ! "
Moi : "Ah ! Oui ! " et je m'installe.
Le repas se passa délicieusement bien, et je retrouva lentement des f o r c e s.
Philippe : "Bien mangé ? "
Moi : "Oui super ! "
Philippe : "Ça va mieux ? "
Moi : " ça va pourquoi ? "
Philippe en souriant : "J'ai cru que je t'avais perdu tout à l'heure "
Moi : "Bah tu m'as tué avec le gel ! "
Il rigola, et posa ses lèvres sur les miennes.
Philippe : "File à la douche "
Je ne me fis pas prier, et y resta bien 10 minutes la tête sous l'eau, ce qui me remit d'aplomb.
La suite de la nuit fut à l'image du début, à part que le temps passé dans mon cul augmentait au fil de la nuit entre chaque jouissance. On s'endormit l'un contre l'autre ( je ne sais à quel heure), quand nous fûmes exténués.
Le matin je fus réveillé sur le ventre, par une sensation plaisante. Philippe me mangeait le cul divinement, et certainement son jus aussi.
Philippe relevant la tête : "Je t'ai pas réveillé j'espère ? "
Moi : "Non, continue ! ".
Il me fouilla pendant un petit moment, me laissant dans un semi rêve des plus exquis. Puis il glissa lentement sa queue en moi. Instinctivement je releva les fesses en me cambrant. Il se coucha sur moi sans m'écraser et me besogna lentement avec de long allé retour, tout en posant des baisés sur mon cou. J'étais aux anges, et ne pouvais rêver plus beau réveil.
Il sortit, s'allongea sur le dos, et dressa sa queue. Je compris et je m'assis sur son pieu face à lui.
Il m'attira vers lui de telle sorte que je dus m'accouder. Ses mains sur mes fesses m'indiquais un rythme lent sur sa queue, je pouvais sentir mon cul brûler de la nuit. On ne disait rien, tout deux profitant de cet instant si sensuel, après une nuit si B e s t i a l , quand quelqu'un rentra.
Jean souriant : "Je dérange, pardon "
Philippe tout en continuant la cadence: " Non non. Ça a été la soirée ? Vous venez de rentrer ?"
Jean : "Ouai super. On est rentré il y a 20 minutes. "
Philippe : "Il est quel heure ? "
Jean : "Là il est presque 8h00. On déjeune, on vous laisse quelque chose ?"
Philippe : "Oui, on va vous rejoindre d'ici peu. Tu prends quoi ? "
Moi les yeux fermés depuis le début : "Euh ! Pardon ? "
Les deux se mirent à rigoler.
Jean : "Trop drôle ce petit. Arrête de le baiser qu'il se concentre. "
Philippe arrête : "Tu prend quoi pour le petit dèj ? "
Moi : "Du chocolat svp "
Jean : "Ok c'est partit " et il nous laissa.
Philippe m'attrapa le visage à 2 mains, et m'embrassa tout en me caressant.
Philippe : "Tu sais que t'es une incroyable petite salope ? "
Je ne dis rien, et me contenta de l'embrasser. Il attrapa de nouveau mes fesses et repris ses va et vient. Il accéléra au fil de ses coups de rein, et je dus lâcher ses lèvres pour gémir. Je me redressa, ce qui fit glisser sa queue en entier en moi. Ses mains sur mes hanches, mes mains sur son torse, je me délectais de ce moment.
Philippe : "Je vais jouir beauté! "
Ses paroles furent suivies de quelques puissant coups de rein où je pus sentir une giclée venir rejoindre celle de la nuit. Nous restâmes quelque seconde ainsi emboîté, puis il me fit lâcher son engin, qui fut suivi de quelque goutte.
Il se leva, me tira vers lui pour me mettre debout, me colla contre lui et m'embrassa. Une fois nos lèvres séparées, il mit un short.
Philippe : "Pas la peine de t'habiller, tu vas salir ton short!Allez hop ! " et me claqua le cul.
Seul Jean et Michel étaient là, grand sourire en nous voyant sortir, les yeux fatigués, mon corps marqué. Je m'installa sur ma serviette à côté de l'un d'eux.
Michel en rigolant : "T'avais raison, ils ont pas beaucoup dormi "
Tout le petit déjeuner se déroula gaiement avec les anecdotes de leur soirée.
Une fois terminé, je me dirigea vers la douche sous leur regard insistant. A peine la porte fermée, les paroles fusèrent, je n'ai jamais su, mais j'imagine qu'ils questionnèrent Philippe sur le déroulement de la soirée, car une fois sortie les sourires en coin, et les regards en disaient long. Je partis mais pas pour longtemps, car je revins presque tout les jours, et passa des vacances magnifique.
ptitpassif
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